L'évaluation périodique des programmes est une démarche que je considère essentielle dans l'objectif de maintenir un enseignement pertinent, à jour et en lien avec les besoins des étudiants, et ce, autant sur le fond que sur la forme. En tant que représentant étudiant sur le comité, je ne peux que saluer l'Université de Montréal et l'École de Kinésiologie de nous avoir activement impliqués dans ce processus honnête et indispensable.

Benjamin Michaud

Étudiant au doctorat à l'École de kinésiologie et des sciences de l’activité physique, Faculté de médecine

L’évaluation des programmes est, plus que jamais, un besoin académique fondamental. À l’heure des transformations rapides de notre société, le diagnostic périodique des divers aspects constitutifs des programmes universitaires devient incontournable. Grâce à l’évaluation du certificat de Toxicomanies : Prévention et réadaptation, nous avons réalisé qu’il était temps de sortir d’une zone de confort pour nous ajuster aux attentes tant dans le milieu universitaire que dans le champ de l’intervention psychosociale en dépendances. La réflexion qui a émané de ce processus a permis une refonte complète du programme et a donné naissance au nouveau programme d’Intervention en dépendances, beaucoup plus conséquent avec les défis du XXI^e siècle.

Ignace Olazabal

Responsable du certificat d’intervention en dépendances à la Faculté de l'éducation permanente et professeur associé au Département d’anthropologie

En quelques mois, nous avons pu avoir un portrait fiable et clair des points positifs, des enjeux et des pistes de solution. Nous avons pu nous appuyer solidement sur une analyse croisée méticuleuse et pertinente pour notre milieu. Nous avons été accompagnés du premier jour jusqu’à la définition du plan d’action dont nous sommes satisfaits et fiers. Ce dernier correspond à ce que l’on attend d’un tel processus, à savoir qu’il permet à la Faculté de musique de mettre à jour ses programmes pour demeurer fidèle à sa réputation et offrir toujours un enseignement novateur ainsi qu’une expérience irremplaçable dans la carrière de nos futurs diplômés.

Nathalie Fernando

Doyenne de la Faculté de musique

L’autoévaluation du baccalauréat en sciences biopharmaceutiques (BSBP) s’inscrit dans une perspective d’amélioration continue pour offrir un enseignement universitaire de qualité. Ainsi, le BSBP s’assure de conserver ses qualités distinctives en plus d’identifier d’autres leviers d’amélioration. Une véritable démarche constructive!

Clara Scattolin

Diplômée du baccalauréat en sciences biopharmaceutiques, Faculté de pharmacie

En tant que conseillère des Programmes de 2^e cycle en Études internationales, j’ai eu l’occasion de participer à la démarche d’évaluation périodique pour nos programmes facultaires, menée en 2019. J’ai trouvé l’exercice fort intéressant. C’était l’occasion de réfléchir sur nos forces et nos faiblesses, avec un groupe de collègues qui connaissaient très bien notre réalité multidisciplinaire, en vue de pouvoir façonner l’avenir de nos programmes selon les priorités que l’on avait identifiées.

Viviana Fridman

Conseillère en programmes d’études et responsable de stages

Grâce au remarquable travail d’accompagnement dont nous avons pu bénéficier tout au long de la démarche d’évaluation, je dois dire que ce processus s’est vraiment très bien passé. Le conseiller en évaluation était toujours disponible lorsque nous avions besoin de ses lumières et nous avons pu bâtir un rapport d’autoévaluation détaillé et complet grâce au canevas que nous a fourni le Bureau de la promotion de la qualité.  Un grand merci pour ce très beau travail de suivi!

François Cooren

Directeur du Département de communication, Faculté des arts et des sciences